L’obligation de sécurité se heurte-t-elle aux libertés publiques ?
ME VIRGINIE PERINETTI / 4 p. // L’hôpital, auquel des malades, personnes fragilisées et vulnérables, sont confiés, se doit avant tout de les protéger ; il doit aussi rester un espace où l’individu, au-delà de son statut de patient, est respecté dans l’exercice de ses droits et l’expression de sa liberté. C’est fort de ces interrogations, et soucieux de brider quelques fantasmes, qu’on pourra se pencher sur l’état actuel, à l’hôpital, des atteintes aux libertés publiques au nom d’une nécessaire obligation de sécurité.